Fabienne, INFJ
Mes “astuces magiques” pour communiquer avec les animaux
Vous avez déjà entendu parler de la communication par télépathie avec les animaux ? De mon côté, j’ai déjà vu passer ça sur internet. Mais très franchement, je serais bien incapable d’expliquer cette pratique ni même de vous exposer mon opinion car je n’en ai pas. Je n’ai jamais ressenti le besoin de creuser le sujet, parce que je communique déjà avec les animaux.
Et pour y parvenir, j’utilise tout simplement mes fonctions cognitives.
Ah oui, je sais, c’est moins spectaculaire qu’une technique ancestrale amérindienne qui modifie les niveaux de conscience et permet une connexion d’âme à âme, mais bon, ça marche très bien, alors je vais
quand même vous l’expliquer.
C’est d’une simplicité déconcertante en fait. J’utilise Ni et Fe, et je procède exactement comme d’habitude, c’est-à-dire que j’apprends à comprendre les animaux de la même façon que j’apprends à comprendre les humains : observer longuement, écouter attentivement et sans interrompre, analyser les comportements, décoder les besoins, décrypter les motivations sous-jacentes, respecter les individualités, repérer les schémas récurrents, les stocker dans ma base de données mentale, et continuer à me poser des questions et à expérimenter.
Vous voyez, rien de magique. Tout le monde peut le faire, même sans Ni-Fe. Cela demande sans doute plus de concentration, mais c’est réalisable, avec les animaux comme avec les humains. Ce sont surtout vos motivations qui comptent.
Alors justement, quelles sont mes motivations à vouloir communiquer avec les animaux ?
Eh bien ça commence avec la volonté de mon sentiment extraverti qui aime s’assurer du bien-être de son entourage. Par exemple, avec ma base de données, je dispose d’outils de traduction pour comprendre rapidement les attentes de mon chat :
- M’asseoir dans un lieu stratégique qui gêne le passage et te regarder fixement = “J’ai faim. Donne-moi des croquettes.”
- Marcher en rond autour de ta chaise = “Je veux sortir. Ouvre-moi la porte.”
Une autre motivation peut être la satisfaction de ma sensation extravertie, mon besoin de me relier à mes sens, au vivant, au concret, mais pas n’importe comment, Se-inférieur est très sensible. D’ailleurs, il m’a prévenue : “Des animaux, ok, mais pas de cage ni de litière ni d’aquarium
à nettoyer, compris ?” En plus ici, Fe ramène sa fraise et renchérit :
“Ah non, ça pas question. Pour le bien-être des animaux.”
Ça me va très bien. En fait, l’un de mes grands plaisirs en randonnée est de rencontrer des animaux et si possible, de les caresser. C’est pas toujours gagné. Les vaches, par exemple, sont souvent très craintives.
Mais grâce à mes observations et mes expérimentations, j’ai découvert que le fait de chanter les attire presque irrésistiblement. Pour le boeuf des Highlands, vous pouvez tenter le coup avec quelques mots en allemand.
Et les chevaux semblent apprécier les instruments à vent, tel que le mélodica. Mais attention, tous les styles musicaux ne se valent pas !
Quand je réussis à établir un contact, Fe est ravi, et Se aussi.
Et puisqu’on parle de la sensation extravertie, avez-vous remarqué à quel point nous pouvons la relier à la part animale qui est en nous ?
4 réflexions sur “INTJ – INFJ : MI-HUMAINS, MI-ANIMAUX”
Juste une intuition ?
Est ce que le timbre de voix des gens changent quand ils passent d’une fonction à une autre dans leur discours. En écoutant vos podcasts très attentivement, j’ai l’impression le timbre de la voix change quand on passe d’un sujet en lien avec du Fe, vers Se ou Ti vers Fi, etc…..
Ah ça c’est intriguant Holly, merci pour cette réflexion !
Avez-vous des exemples un peu plus précis, pour que je puisse écouter ? 🙂
Encore une fois, la Chouette a mis des mots sur ce que je ne pouvais pas nommer. C’est tout à fait cela, lorsque mon Te est attaqué ça fait mal à mon Fi.
J’ai également l’empathie sélective. Je n’ai pas la force d’apporter des solutions à toutes les causes. Comme le dit si bien la Chouette, d’autres personnes sont là pour s’en occuper.
Cette semaine au boulot, j’ai du m’expliquer avec une collègue ESFP.
Mon explication logique, factuelle et non-violente de la situation l’on fait réagir de façon émotionnelle et disproportionée. J’ai du me défendre de propos que je n’avais jamais tenu. C’est un grand mystère pour moi qu’une personne prétende entrendre “B” alors que j’ai dit “A”.
Vivement je je trouve une bonne idée et que je travaille à la maison 🙂
Merci pour ton commentaire Marie.
Je comprends parfaitement la situation où tes propos sont interprétés. De mon côté je vis ça quand mon Ti est confronté à un Fi qui part en vrille. Aïe, dur dur, faut rester zen… :-/
Je confirme : travailler à la maison, ça soulage à ce niveau 🙂