Aujourd’hui je fais le bilan de mon parcours professionnel, pour vous relater comment ça s’est passé avant d’en arriver au stade « Ça y est, j’ai trouvé le bon métier pour moi« .
Buts de cette publication :
- Vous inspirer
- Susciter une éventuelle prise de conscience
- Et ce que je souhaite le plus :
vous éviter de perdre énormément de temps
Au passage, j’en profite pour faire quelques liens entre métiers et types de personnalité. C’est un point de vue, le mien en l’occurence, à ne pas prendre comme une vérité unique. D’ailleurs, il serait intéressant de partager vos propres expériences dans les commentaires, pour enrichir la conversation.
Précision 1
J’ai également inclus mes jobs d’étudiante et mes expériences de stagiaire, quand le stage était suffisamment immersif pour que je puisse me faire une bonne idée du métier.
Précision 2
Malgré le ton ironique utilisé dans cet article, tout ce que vous allez lire ici est vrai. Et encore, je ne vous raconte pas tout sinon ce post prendrait une allure d’autobiographie.
Je vous épargne les épisodes de harcèlement à répétition. Je peux éventuellement envisager de traiter le sujet dans une autre publication.
C’est parti, bonne lecture 🙂
33 réflexions sur “Je suis INFJ et j’ai testé 17 métiers”
Wahou super article j’ai adoré le lire !
Etant moi même INFJ, je confirme que trouver sa place au sein de la société actuelle est très compliqué… d’ailleurs je ne l’ai toujours pas trouvé et je ne sais vraiment pas quel métier je pourrais exercer… cela me peine et me frustre… En tout cas merci pour votre article! ça fait du bien de se « retrouver » quelque part… 😉
Merci beaucoup Déborah, ça fait plaisir !
Oui oui, parfois un gros défi de trouver sa voie professionnelle, on peut y passer des années… d’insatisfaction chronique (c’est du vécu).
Si ce n’est pas encore fait, vous pouvez aussi lire l’article « Comment trouver un métier pour ma personnalité », avec des tests à faire :
https://psychopersonnalite.com/trouver-un-metier-qui-a-du-sens/
Ça peut vous donner de nouvelles pistes.
Ou bien autre possibilité, une analyse AstroPersonnalité, avec votre thème natal qui montre des possibilités de voies d’accomplissement professionnel. Généralement, selon les retours, ça semble plutôt pertinent : https://psychopersonnalite.com/astropersonnalite/
Bonne continuation ! 🙂
Salut Fabienne,
Un grand merci pour cet article. J’ai bien apprécié la pointe d’humour. Je suis moi aussi un avocat INFJ. Personnellement j’ai fait un master en compta, j’ai finalement débuté ma carrière dans le domaine de l’EPM (logiciel pour les financiers) et malgré 3 essais je n’ai jamais passé la période d’essai. Aujourd’hui, je ne suis plus le même que lorsque j’étais en master et je cherche un métier qui soit plus en phase avec qui je suis maintenant. J’avoue que l’entreprenariat me plait beaucoup mais pour financer mes projets il me faudrait un poste de salarié. Je profite donc de ce 3ème échec pour me reconvertir mais ce n’est pas facile de trouver un métier qui soit à la fois tourné vers l’humain, bien payé et qui nécessiterait une courte formation. Je vais regarder ton article sur comment trouver un métier qui ait du sens.
Merci encore
Jérémy
Hello Jérémy, merci pour ton commentaire !
Effectivement, trouver sa voie peut être un vrai voyage, avec essais-erreurs…
J’espère que l’article Trouver un métier qui a du sens t’apportera des pistes utiles 🙂
Bonne continuation dans ton parcours.
Wow, super article ! Merci pour ce partage comique super agréable à lire.
Côté pro, je ne suis pas en reste : INFJ, moins de 30 ans et pourtant une douzaine d’expériences pro différentes à mon actif, j’ai toujours eu du mal à savoir ce que je voulais vraiment faire. J’ai choisi de faire des études d’anglais car c’était ce qui me plaisait le plus, malgré les professeurs du lycée me disant qu’il n’y aurait pas de débouchés. Je suis vraiment heureuse d’avoir suivi mon intuition car de un, ils avaient tort (les recruteurs adorent les linguistes, signe d’extraversion, de curiosité et de compétences en communication) mais en plus cela m’a vraiment plu. Même si à l’époque je n’avais pas de véritable vocation, en tout cas rien de précis.
Mon rêve depuis plusieurs années est d’ouvrir mon propre commerce, pourtant je hais le capitalisme. En attendant – et c’est ça le souci des INFJ, on rêve, on idéalise, mais on ne fait pas – je suis Customer Care dans une start-up aux valeurs humaines et ça me convient, pour l’instant. Tout le monde me voit évoluer vers le poste de Product Specialist toutefois je ne suis pas sûre que cela me plairait dans son entièreté ; d’expérience, et là où je me reconnais dans ton récit, c’est que recevoir une promotion ne signifie pas forcément s’épanouir et réaliser son soi. Ma santé physique et mentale en a payé les frais il y a 3 ans lorsque j’ai accepté une promotion pour devenir manager d’un magasin bio appartenant à une grande enseigne … burn out et insomnie, le combo ! Finalement être simple employée me convenait ; comme quoi évoluer n’est pas synonyme de bonheur, d’autant plus que l’on peut évoluer personnellement en restant sur le même poste, du moment qu’on y trouve du sens et du plaisir. Bref, je ne sais pas trop pourquoi j’ai raconté ma vie mais, qui sait, peut-être que d’autres personnes s’y reconnaîtront.
Hello Say, merci beaucoup pour ton commentaire, et ravie que mon article te fasse sourire 🙂
Merci également pour ce témoignage dans lequel d’autres pourront effectivement se retrouver je pense.
Au plaisir !
Ton article me parle beaucoup.
J’aimerais me confier sur ma situation.
Longtemps, j’ai pensé que mon état était pathologique : entre timidité, introversion et phobie sociale.
Empathique, compréhensive et tolérante, je suis aussi fascinée par les histoires de vie, les relations intra-familiales et l’analyse psychologique des individus. Les gens sont attirés comme des aimants lorsqu’ils le repèrent et pour peu que la discussion tourne autour de mes sujets de prédilection, je ne compterai pas mon temps et cet échange passera avant le reste de mes activités, même prioritaires. Je peux toujours libérer du temps pour les choses qui comptent vraiment pour moi.
A l’école, j’avais des facilités à l’écrit, c’est dans ce type d’exercice que je me sentais le plus à l’aise, j’avais le temps de réfléchir et de transformer mes pensées en mots. Seulement, dès lors qu’il fallait prendre la parole à l’oral, je me repliais sur moi-même, en situation de stress social, c’est essentiellement sur le regard des autres et leurs attentes que mon attention était concentrée. Réfléchir, trouver une idée, une réponse pertinente, vite : c’est ce qui me traversait l’esprit. Je perdais toute confiance en moi et me retrouvais incapable de répondre. Avec le temps, je me suis créée une carapace, mais les tours de table ou les jeux d’interconnaissance sont toujours l’enfer incarnée à mes yeux. Les masques que je porte pour me protéger porte à confusion et la plupart de mes collègues ou camarades ne se doutent pas que ça bouillonne en moi, pas plus qu’ils ne comprennent que je manque régulièrement le boulot, par fatigue et anxiété sociale. Dans les groupes, lors des temps informels, je porte volontiers le masque de la comique, on me pense extravertie et dynamique. En temps plus formels et au travail, pour paraitre détendu et m’en convaincre, j’ai tendance à me montrer impertinente et rebelle, je préfère qu’on me trouve loufoque parce que j’ai l’air de me ficher des codes sociaux et que je suis réfractaire à l’autorité, plutôt qu’on me prenne pour l’être bizarre qui ne regarde pas les gens en face et qui ne dit rien. Il y a probablement un entre-deux mais j’ai encore du mal à y trouver une place.
Après avoir étudié les sciences humaines et sociales pendant plusieurs années, j’ai pris la décision de me former au travail social. En termes de valeurs et de réflexions sur la société, je me sens à ma place. Mais il faut dire ce qui est, je suis majoritairement entourée par des ESFJ, ESTJ, ESFP ou ENFP, tous très sympathiques pour la plupart, mais tellement différents de moi. Heureusement, il y a quelques NF dans l’assemblée, mais toujours accaparé par une foule de gens. Et je ne compte plus le nombre de fois où des débuts de conversations profondes avec ces personnes ont été coupé puis avorté par du Se pur… Actuellement, je me demande si j’ai vraiment mes chances de m’épanouir dans ce secteur en tant qu’introverti puissance 10. Et en même temps, je sais que la casquette de travailleuse sociale peut m’ouvrir des portes, dans des institutions à échelle plus humaine où je me sentirai moins sollicitée, ou encore dans des associations en lien avec mes passions qui me permettront de communiquer plus facilement avec les autres par le biais de sujets qui me font vibrer.
En tout cas, je te remercie beaucoup pour ton propre témoignage 🙂
Merci également pour ton commentaire 🙂
Visiblement, tu es une oreille attentive, ce qui est effectivement très recherché car il y a nettement plus de demande que d’offre.
Et je peux imaginer que lorsque tu as besoin d’être écoutée à ton tour, il n’est pas toujours simple de trouver une oreille disponible pour toi.
Concernant les conversations profondes, selon mon vécu personnel, elle sont possibles uniquement en tête à tête, et si l’autre personne aime également ce type d’échange. À partir de trois personnes, la dynamique change, et ça devient plus compliqué, surtout quand on est introverti et qu’on peut vite être surchargé en stimulations.
En tout cas je comprends ta décision de t’orienter vers le travail social. C’est un domaine qui demande une bonne dose d’abnégation, mais qui en retour, donne du sens à ce que l’on fait. Je te souhaite de trouver les conditions qui te permettront de t’y épanouir 🙂
Oh my bad… Cet humour. J’A-DORE !
J’ai le même. ♥
(Non, vraiment, ce site est génial, les INFJ peuvent kiffer dans leurs caves sans que personne ne le sache, c’est parfait)
INFJ en reconversion is flying away !
Ooh.. Je suis toujours contente de croiser un.e complice d’humour ! C’est pas très fréquent alors chouette 😀
Merci pour ton commentaire. En plus de me faire plaisir, c’est bon pour la visibilité de l’article.
Bonne reconversion !
En tant qu’INFJ j’ai toujours était perdu dans ma vie et je sais pas dans quel travail je pourrais m’épanouir…
Les choix des masters se présentent à moi et je ne sais pas quoi faire,je pense que je vais go dans la logistique pour ne pas voir un bullshit jobs ou alors enseigner dans un lycée.
Bonsoir Falcao,
Je ne sais pas si tu as vu l’article « Trouver un métier qui a du sens » https://psychopersonnalite.com/trouver-un-metier-qui-a-du-sens/
Il s’agit d’un guide complet avec des tests pour t’orienter vers des pistes de métiers selon tes préférences et compétences 🙂
J’ai vraiment éclaté de rire en lisant le passage sur le call center !
Super témoignage en tout cas, et le message est inspirant. Malheureusement, assez peu de gens s’épanouissent vraiment dans le monde du travail, même sans avoir une « personnalité non conventionnelle ». En fait, je suppose que la personnalité non conventionnelle peut accentuer le décalage, mais je dirais que le monde du travail ne convient pas aux êtres humains en général. À qui ça correspond fondamentalement de faire les mêmes gestes toute la journée, des tâches à la con de reporting dans un tableur Excel, de rester assis derrière un écran ou debout à piétiner 8h d’affilée à faire des trucs pour lesquels on a peu d’intérêt ?
Sinon c’est intéressant que tu associes le métier de prof des écoles au S. Pourtant j’ai l’impression que pas mal de NF exercent ce métier ou aspirent à l’exercer. Dirais tu que les INxJ manquent de « présence » physique pour s’imposer dans un groupe d’enfants ? Pour le coup, le métier d’enseignant fait partie de ceux qui ont du sens et dans lesquels on peut s’épanouir, si on a la personnalité pour ça (ce qui n’est pas mon cas non plus).
Merci Julie ! 😀
Je te rejoins complètement : le monde du travail transforme les humains en esclaves selon mon point de vue. Certains semblent mieux s’en accommoder que d’autres, mais avec une personnalité atypique, ça devient vraiment difficile (bien que les exceptions existent, comme d’hab).
Concernant le métier de prof des écoles : je pense que tu as raison au sujet des NF qui choisissent cette voie. J’en étais une, avec plein de beaux idéaux. Mais sur le terrain finalement, j’ai été confrontée à un système complètement anachronique à mon sens. Le fonctionnement global de l’enseignement est dépassé, mais conservé juste par tradition, par peur de la nouveauté, et parce que le moindre pas en avant dépend d’une volonté politique qui peut prendre 3 plombes avant que quelque chose se concrétise vraiment. Évidemment, ça n’engage que moi et mes expériences. Je sais que d’autres pays (je suis en Belgique) gèrent cela avec une approche plus progressiste.
Donc un métier qui a du sens, oui, assurément, mais beaucoup d’idéaux déçus (dur pour un.e NF).
Pour le manque de présence physique des INxJ : oui, ainsi que pour une réserve d’énergie physique limitée, ceci dit, certains s’en sortent mieux que d’autres et peuvent tout à fait s’épanouir dans ce métier 🙂
Merci pour ta réponse ! 🙂
J’ai pas mal d’amis profs, ou qui l’ont été, ou qui veulent le devenir. Je pense que ce sont tous des N, mais effectivement, ce n’est pas simple pour tout le monde, et les dysfonctionnements de l’éducation nationale sont pointés par tous. J’en vois deux qui semblent s’y épanouir malgré tout mais dans le secondaire, et ce sont des ENFP. De mon côté je fais aussi partie des gens qui l’ont fuie (je dirais en effet qu’il faut une énergie et une présence de fou et/ou une capacité à instaurer un cadre. Je n’avais rien de tout ça). Parfois je me dis que j’aurais dû davantage m’accrocher car j’ai plus de mal à trouver du sens dans les métiers que j’ai exercé par la suite (même si je m’en sors pas trop mal et qu’il y a largement pire malheureusement).
Je suis IxTJ (Pilea sur youtube^^).
Hello Julie-Pilea ! ^^
Oui, j’ai l’impression que les ENFP sont les mieux placés de la gamme NF pour faire face à ce job, avec leurs facultés d’adaptation, leur énergie et leur enthousiasme à toute épreuve ! 🙂
Très instructif.
Pour ma part j’avais hésité entre Gendarme et commercial.
La Gendarmerie m’a refusé…
Alors carrière épanouissante dans le commerce B2B faite d’aventures et de concepts à appliquer 🙂
Merci Thomas. Eh bien j’ai envie de dire : heureusement que la Gendarmerie a refusé finalement ? 🙂
Génial cet article, merci 😉 C’est hyper intéressant d’envisager sa profession selon sa personnalité ! Je suis professeur en lycée depuis 6 ans et je commence à me dire que mon côté I/F s’épuise beaucoup trop face aux classes d’ados à gérer… « Si » j’ai le courage de changer et repasser des concours, j’envisage une reconversion plus calme en bibliothèque (pour faire des animations « champignons en forêt » ^^).
Avec plaisir Laura, merci aussi 🙂
Bibliothécaire, c’est effectivement plus calme, même avec les animations champignons 😀
Bonjour fabienne,
Je te suis depuis un moment deja et tu m’as beaucoup aide dans ma recherche d’identite (INFJ)
Je t’en remercie, en ce qui me concerne ca fait 14 ans dans la meme boite et ca va j’arrive a m’adapter (technicien d’atelier) j’ai la « chance » pour et contre d’etre autonome et polyvalent dans le travail. Est ce que je suis epanoui? Je ne pense pas, selon moi n’importe quel metier atteint mon but premier: faire vivre ma famille et la rendre heureuse c’est tout ce qui m’importe (bon j’avoue le travail a la chaine c’est pas pour moi)
Au plaisir de te revoir dans tes videos
Bonjour Toshea, merci à toi pour ton commentaire et ravie que mon travail te soit utile 🙂
Effectivement le choix d’un métier dépend très fortement de nos priorités.
Encore une fois très impressionné par cet article fouillé, joliment illustré et qui vient du plus profond du coeur. Bravo pour le travail remarquable !
Tu nous avais parlé de tes 17 métiers et là tu nous montres que ce n’est pas une légende … tu as vraiment testé tout ça !!!!
Plus je te lis (et je te regarde) plus mon complexe d’inadaptation à la société diminue. J’adore la team ESFJ :D, c’est tellement ça !!
Ça sonne juste, ça sonne vrai et ça nous aide à nous accepter tel que nous sommes.
Merci Fabienne pour ce que tu fais !
Oh, merci beaucoup Sébastien, ton commentaire me touche vraiment.
infj…
Un besoin de créer, toujours à la recherche de la qualité et du sens… Le métier idéal pour lui n’est-il pas d’être son propre patron?
Encore Merci Fabienne
Xavier
En ce qui me concerne, c’est effectivement le Graal, et après avoir goûté à la liberté, pas question de retourner à une vie d’aliénation. Maintenant, je sais aussi que tous les infj ne souhaitent pas devenir entrepreneurs. Chez ce type, le besoin de sécurité est souvent l’obstacle principal qui empêche d’oser. Et quand ce besoin est axé « sécurité matérielle », ça devient franchement compliqué. À titre personnel, mon besoin de sécurité n’est pas orienté « matériel » en priorité (même si je n’ai aucune envie de dormir dans la rue), mais sur d’autres considérations plus abstraites telles que la santé.
Et si ma santé est une priorité pour moi, il devient clair et facile de choisir le mode de vie où ma santé sera le plus en sécurité.
Outre le type mbti, d’autres éléments peuvent également faire pencher la balance d’un côté ou d’un autre. Par exemple, ce qui a beaucoup joué pour moi, c’est mon rapport compliqué à l’autorité.
Mais globalement, j’ai l’intime conviction que sauf rares exceptions, s’épanouir complètement dans un job conventionnel avec une personnalité non-conventionnelle est très peu probable. Après, comme toujours, chacun agit selon ses priorités et motivations.
Merci à toi Xavier d’être passé par ici 🙂
Bonjour
J’ai trouvé le blog passionnant et je suis impressionné que tu as fait autant de métiers.
Etant ISTP je cherche toujours un métier qui est fait pour moi aussi. à vrai dire, je n’ai pas réussi à trouver un seul emploi malgré niveau d’étude (bac pro et 2 BTS). J’ai tenté l’informatique, l’électronique et là je vais essayé l’audiovisuel (j’aime bien le dessin, le cinéma, les jeux de société, écrire et lire).
Bref je suis impression de ton parcours et continue ce que tu fais tant que ça te plaît
Salut Lilian, merci beaucoup pour ton commentaire. Je peux imaginer qu’en tant qu’ISTP, ça doit pas être simple non plus. Et que tu dois avoir besoin d’indépendance dans ton job, non ?
Qu’on te foute la paix pour le dire clairement 😀
Tu sais ce qui n’a pas collé pour toi quand tu as tenté l’informatique et l’électronique ?
Bonjour j’ ai le même profil dit le type « avocat » INFJ assez rare et ta publication me parle beaucoup car je suis entrain de me chercher professionnellement… 5 ans dans un poste qui ne me convient pas …il est temps de sauter le pas…Parmi toutes les expériences proposées de job il y en a peu qui collent avec ce profil si particulier dans lequel je me reconnais bien… Difficile de trouver sa voie, sa place, mais ça fait du bien de ne pas être seule. Y a t’il d autres propositions de métiers qui pourraient davantage matcher…je suis attirée par l enseignement et le social mais la gestion du stress est un point faible pour ma part…
Bonsoir, merci pour ton commentaire.
Citer des métiers tels quels n’est pas évident. D’un INFJ à l’autre, ça peut vraiment varier.
Disons que les grands fondamentaux pour ce type de personnalité, ce sont : un travail où on peut garder une certaine autonomie, où on peut avoir la main sur la gestion de notre énergie, sur la gestion du planning et de l’organisation aussi, ou à défaut que les procédures de travail mises en place soient limpides, structurées, cohérentes et efficaces, une atmosphère de travail harmonieuse (bonne entente entre collègues) et respectueuse (pas d’intrusion dans la vie privée etc.), un environnement plutôt calme, si possible un espace où on peut être seul surtout pour le travail mental, et bien entendu, un métier qui a du sens. Tu me diras, tout le monde veut un métier qui a du sens. Mais pour un profil au tempérament idéaliste, c’est nécessaire de sentir qu’on agit « pour améliorer le monde ». Un type INFJ ne résiste pas sur du long terme dans un job alimentaire. Ou s’il le fait, ce sera au détriment de son bien-être et de sa santé. Enfin, pour les types INFJ les plus développés (qui ont travaillé sur leur estime et leur confiance), et qui ont leur vision personnelle du monde, il sera important de pouvoir oeuvrer à concrétiser cette vision. Dans ce cas, il vaut mieux envisager d’être son propre patron.
Le monde de l’enseignement ou le social peuvent coller avec ton type si tu te sens d’attaque niveau énergie, et si tu n’es pas gênée par les modèles qui privilégient la stabilité et les changements lents, qui répliquent ce qui est déjà bien en place (plutôt que de faire des prévisions sur l’avenir et tout chambouler). Si c’est juste la question du stress qui te fait hésiter, il existe des moyens de gérer cela. En tout cas si tu sens que c’est ta voie, ça ne devrait pas te freiner 🙂
Super cool cet article ! Et très intéressant ces infos MBTI tirées de tes 18 expériences, je vais me copier le lien je pense que j’y reviendrai plus tard ça va me servir ! Merci pour ce travail de classification / synthétisation / illustration ! J’imagine même pas le nombre d’heures ! ^.^
Hey, merci d’être passé ici et pour ton commentaire, ça fait plaisir.
Si l’article peut t’être utile d’une façon ou d’une autre, je suis contente de le savoir 🙂
Comment ça se passe pour vous dans votre vie professionnelle ?
Vous vous sentez à votre bonne place ?
Que vous inspire cette publication ?