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24 réflexions sur “MBTI / ENNÉAGRAMME : 7 DIFFÉRENCES”
Bonjour Fabienne,
Génial de situer ces 2 outils l’un par rapport à l’autre. Je trouve que ça permet de même mieux les comprendre en faisant ça !
Pour ma part ISFP, j’ai du mal à me reconnaître dans l’ennéagramme. Bon, vu les heures que j’ai passées à comprendre le mbti, les fonctions cognitives pour arriver à ne plus douter (et encore) du type ISFP, j’imagine qu’il en faudra au moins autant pour l’énnéagramme. Je me suis senti 9 parce que ça allait bien avec l’ISFP en plus, puis un temps 4, puis maintenant 5. A chaque fois, j’ai un gros déclic qui m’a fait : “ah mais c’est ça !!”.
Souvent je me reconnais assez peu dans les descriptions comportementales “types” des profils ennéagrammes. Mais avec ton article, je me dis que c’est pas si grave sachant qu’ils décrivent plutôt des motivations que des comportements.
Donc aujourd’hui, ISFP 5w4 me semble le plus juste. Mais je suis certain que si je vais lire la description aujourd’hui du type 5, je me dirais “mouais bof” x). Bref j’ai pas fini de douter, de changer, de re-douter et de re-changer. Rdv dans 3 ans avec les certitudes :p !!
Merci en tout cas pour ce super article !!
Bonne journée !!
Bonsoir Tom,
Contente que la comparaison des deux modèles t’aide à mieux les comprendre 🙂
Oui, l’ennéagramme demande un certain temps pour assimiler les subtilités, et ce que tu me racontes est tout à fait normal : généralement, on va se reconnaître dans 5-6 types sur les 9. Après, c’est le travail d’introspection et d’analyse objective de sa vie depuis l’enfance qui permettra d’identifier la motivation dominante qui conditionne nos comportements (plus que les descriptions de portraits). Et la difficulté dans tout ça, c’est qu’on est justement réticent à l’admettre, cette motivation…
En tout cas tu as raison de te poser des questions 🙂
Merci pour ton commentaire, et au plaisir !
Salut Fabienne !
C’est une bonne surprise de voir à nouveau des publications de ta part ! Et celle ci tombe “bien” car j’ai pas mal procrastiné en lisant des trucs sur l’enneagramme ces derniers temps…
Bizarrement j’ai trouvé plus facilement mon type enneagramme que MBTI (et je suis toujours perplexe pour le deuxième).
C’est peut être mon côté négatif qui fait que j’arrive plus facilement à répondre à la question “qu’est-ce qui déconne complètement dans ma personnalité” plutôt que “quel est mon fonctionnement normal”
Je suis d’accord pour dire que le MBTI décrit des fonctionnements cognitifs qui se traduisent par des comportements.
Après, j’ai du mal à ne pas voir d’interférences entre les deux modèles : l’enneagramme me semble se fonder en définitive sur des explications liées au fonctionnement cognitif également. Dire qu’on préfère un “centre” (instinctif émotionnel ou mental), est-ce que ça ne revient pas à dire qu’on est plus à l’aise avec certaines capacités cérébrales ? En tout cas, c’est dans ce sens que l’entendent au moins certains praticiens de l’enneagramme. Et j’ai parfois l’impression qu’une utilisation simultané des deux modèles conduit à appauvrir sa vision de l’enneagramme en ne prenant pas en compte tout ce qu’il implique.
Pour donner un exemple, j’ai du mal à comprendre comment un infj 1 peut à la fois préférer le centre instinctif, et donc être à l’aise avec l’action dans le monde physique, et avoir Se en fonction inférieure.
Est-ce qu’en liant les deux modèles on ne fait pas finalement une sorte de synthèse un peu superficielle entre les 2 types, pratique pour expliquer des comportements qu’on trouve un peu contradictoires (“oui c’est un intello idéaliste mais en même temps vachement un fonceur”) ? Mais je passe peut être à côté d’une manière plus pertinente d’utiliser les 2 ensemble.
Je crois que je commence à préférer l’enneagramme. Il est plus long à connaître vraiment (plus d’infos à assimiler) que le MBTI, mais j’ai atteint un stade où je le trouve vraiment pertinent. J’arrive bien à l’appliquer à mon cas (contrairement au MBTI) et à celui des personnes dont je suis ou ai été le plus proche. Pour les gens que je connais plus superficiellement, essayer de déterminer le MBTI me semble moins périlleux (mais je me suis un peu calmée sur la recherche du type des gens en général).
Salut Pilea ! Merci pour ton commentaire qui comme d’hab, me fait sourire (j’arrive plus facilement à répondre à la question “qu’est-ce qui déconne complètement dans ma personnalité” plutôt que “quel est mon fonctionnement normal”).
Tes questionnements sont légitimes évidemment. Vaste débat…
Je te partage mes points de vue, qui sont juste… mes points de vue 🙂
D’abord un fait : il existe bien plusieurs approches de l’Ennéagramme.
Quand certains mentionnent une origine liée aux blessures de l’enfance, d’autres relèvent des explications biologiques.
L’éternelle question entre inné et acquis.
Mon point de vue sur la question (qui ne va pas simplifier l’affaire) : j’ai l’impression que c’est un mélange des deux.
Comme tu as pu le remarquer, le modèle est vaste et complexe, et semble avoir une vision globale de la personnalité.
Du côté du MBTI, c’est plus carré : on parle de fonctionnement cognitif. Ça a le mérite d’être clair, mais comme je le dis dans l’article, il vaut mieux compléter avec d’autres approches qui creusent dans les profondeurs de l’inconscient.
Ton rapprochement entre le Se inf de l’INFJ 1 et son centre instinctif : personnellement, j’ai tendance à relier “instinctif” à “décisif”, le fait de ne pas tergiverser pendant 3 plombes, et de trancher rapidement.
Par exemple : pendant que l’INFP 9 scrolle sans fin sur Amazon sans pouvoir choisir le pommeau de douche qui remplacera celui qui est foutu, l’INFJ 1 va comparer 3 pommeaux, prendre une décision, mettre le pommeau dans le panier et sortir la carte (demander la livraison rapide parce que c’est inacceptable de rester 2 jours sans pommeau de douche, et au passage, engueuler l’INFP 9 qui est toujours amorphe devant son écran). Voilà, je crois que ce sera pas trop trop épuisant pour son petit Se inf 😀
Un truc important aussi : j’ai l’impression que certaines personnes peuvent parfois s’emmêler entre “préférences” et “nuances”, à force de vouloir relever trop de critères.
Alors oui, à défaut de cerner ce qui est vraiment dominant et récurrent, on peut vite tomber dans des portraits loufoques.
Ceci dit : maintenant, même si des critères me semblent incohérents ou contradictoires, j’essaie de me dire “il y a sûrement quelque chose que je n’ai pas encore compris” plutôt que de me dire “c’est vraiment nimp ce truc”.
Parce que franchement, plus j’avance, et plus je fais des découvertes qui m’amènent chaque fois à revoir mes certitudes… et tant mieux !
Pour terminer, je considère que l’essentiel dans toute démarche de connaissance de soi, c’est d’identifier et surtout d’accepter toutes les facettes qui nous composent. Les plus brillantes, comme les plus sombres.
Il existe de nombreuses voies pour y parvenir. Le typage peut y contribuer, mais c’est bien de se rappeler que c’est juste un point de départ finalement.
Merci pour ta réponse !
C’est vrai qu’il existe plusieurs approches. Je me suis surtout intéressé à celle des Chabreuil, qui considèrent en effet que notre énnéatype serait en grande partie inné. Sur leur site, voilà comment ils décrivent le centre instinctif :
“Le centre instinctif assure notre survie physique et psychologique dans le présent. Pour ce faire, il compare le présent aux situations passées semblables et choisit d’agir ou non, de changer ou non. C’est le centre de notre énergie vitale, de nos actes spontanés, de notre coordination physique, de notre créativité dans l’action.”
ça semble quand même se recouper pas mal avec le S du MBTI…
Le centre mental évoque un mélange de N et de T :
“Le centre mental est le lieu du raisonnement, des choix, des décisions, des plans et des projets. Il raisonne par analyse et synthèse à partir d’informations se voulant objectives. Il est orienté vers le futur.”
(https://www.enneagramme.com/Theorie/9_centre.htm)
Après, je suis tombée aussi sur un article (d’une personne extérieure) sur le même site qui explique que le MBTI n’est que la partie cognitive de notre personnalité, toute entière inclue dans le centre mental de l’énnéa, les 2 autres centres correspondant à des dimensions différentes. Je trouve ça intéressant, mais, il me semble, pas vraiment en phase avec les définitions des centres telles qu’elles sont formulées par les Chabreuil.
Mais oui, comme toi, je me dis “il y a sûrement quelque chose que je n’ai pas encore compris” :).
Voilà, exactement : on va trouver des définitions / descriptions ça et là, qui vont à un moment finir par se contredire.
Pour ma part, j’aime utiliser la théorie pour me faire rapidement une vision globale des fondamentaux, ensuite, j’accorde une grande place à mon fonctionnement intuitif + Fe en live pour “sentir” le truc.
Avant, j’avais tendance à vouloir bien tout connaître à la lettre, comme la bonne élève que j’étais à l’école.
Mais finalement, la théorie, quelle qu’elle soit, me semble toujours trop restrictive par rapport à la réalité. Ce qui est quasiment inévitable quand on y pense.
Et puis l’instinct de survie, ok, c’était assurément lié à l’action typiquement Se à l’origine : se barrer face à un tyrannosaure, tuer un mammouth pour manger ce soir, etc.
Mais aujourd’hui, on peut le trouver dans des manifestations plus subtiles. Je reprends mon histoire du pommeau de douche.
Base 1 et base 9, tous deux centre instinctif.
Base 1 veut absolument un pommeau de douche tout de suite. Si on creuse : pourquoi est-ce si important ?
Par exemple, ce pourrait être : parce qu’il faut pouvoir se laver chaque jour si on ne veut pas être rejeté par les autres.
Base 9 de son côté, décide de ne pas décider. Pourquoi ? Peut-être par peur de faire une erreur “fatale” ?
Quoiqu’il en soit, il y a toujours un danger à la clé, qui motive la réaction. Avec le 9 on est plutôt dans la fuite, avec le 1, plutôt dans l’action, même si dans cet exemple l’action correspond à quelques clics physiquement peu éreintants.
Bon remarque, on peut trouver l’instinct de survie chez chaque type en même temps. Conversation sans fin… 😆
Oui il faut peut être admettre que la théorie est un peu mystérieuse et aller au delà 🙂
L’enneagramme prend effectivement en compte l’influence des instincts (de survie, social, sexuel) pour tous les types .
En fait, en y réfléchissant, je crois que je comprends mieux l’idée comme quoi l’énnéa concerne les motivations.
Notre préférence pour un centre dans l’énnéa correspondrait à ce qu’on juge important dans la vie, à nos objectifs, tandis que nos fonctions cognitives seraient en quelque sorte les outils à notre disposition pour atteindre ces objectifs.
Du coup l’INFJ 1 placerait au centre de ses préoccupations la mise en mouvement, le passage à l’action, en utilisant ses outils Ni-Fe-Ti-Se pour ça. Je ne sais pas trop comment ça se traduit concrètement, peut-être que ce sera fatigant pour lui car il devra aller souvent puiser dans son Se, mais en tout cas, je ne vois plus de contradiction en le formulant comme ça.
Autre exemple, un ESFP 7 s’intéresse avant tout dans la vie à l’anticipation, à l’élaboration de stratégies. Mais comme il a Ni et Te dans ses fonctions inférieures, il aura peut-être davantage tendance à privilégier des stratégies à court terme par exemple.
ça rejoint ce que tu dis : que notre type MBTI nous indique notre potentiel, nos talents naturels. L’énnéagramme nous donne nos motivations, pour ne pas dire nos obsessions dans la vie, dont on n’a pas toujours conscience.
Merci Pilea, ton point de vue est intéressant, j’aime bien l’idée des fonctions cognitives en tant qu’outils qui nous aident à satisfaire nos motivations.
Pour ce qui est des motivations de l’ennéa justement, je voudrais apporter une nuance : elles correspondent à ce que l’on cherche à éviter, plutôt qu’à des objectifs, tu vois ? Parce qu’un objectif qu’on souhaite atteindre sous-entend une démarche constructive, un enchaînement d’actions etc., on est plus du côté conscient ici.
Par exemple, le 1 a conscience qu’il passe à l’action ( = le moyen), mais il n’a pas toujours conscience qu’il le fait parce qu’il cherche à éviter la colère ( = la motivation).
Le 7 a conscience qu’il élabore une stratégie, mais il n’a pas toujours conscience qu’il cherche à éviter la souffrance.
En fait, derrière ces comportements que l’on peut observer, le but est de comprendre pourquoi il / elle agit de cette façon. Pas toujours facile à détecter, faut parfois creuser loin. Pour ça, il y a une technique qui consiste à multiplier les pourquoi. À chaque réponse, tu te demandes encore « oui, mais pourquoi ? », jusqu’à avoir l’impression d’avoir été au bout. Ceci dit, si on va vraiment tout au bout du truc, on arrive à une réponse identique pour tout le monde : « Pour rester en vie », l’instinct de survie étant notre motivation principale à toutes et à tous 🙂
Oui tu as raison, le mot “objectifs” était mal choisi.
Ce que je voulais dire, c’est que les fonctions cognitives seraient de l’ordre de la prédisposition et le centre préféré plutôt de la préoccupation ou de l’aspiration.
Et ensuite oui selon la direction dans laquelle il utilise son centre préféré, chaque type va avoir une compulsion d’évitement particulière qui va orienter inconsciemment ses actions.
La technique de multiplication des “pourquoi” est intéressante, et aussi l’idée que la réponse serait finalement la même pour tout le monde…
Ah oui, je réalise que je t’ai expliqué un truc que tu connaissais déjà (compulsion d’évitement) 🙂
Désolée, ce n’est pas toujours évident de savoir à quel stade d’avancement une personne se trouve, surtout via des commentaires.
Pas de souci, vu la manière dont je l’ai formulé, ça pouvait vraiment prêter à confusion.
Merci pour cet article !
Nope, cela ne correspond pas tout à fait, mais ça se joue à une lettre près ! Tout comme toi il me semble 😀
Et si je prends aussi en compte la correspondance MBTI de mon aile en énnéagramme, je retrouve bien mon vrai type MBTI.
Est-ce le cas pour toi aussi ?
J’aime beaucoup les deux modèles, ils donnent des explications différentes à ma difficulté à passer à l’action par moment.
T’ai-je donné suffisamment d’indices pour que tu devines mes types ? Au besoin, je te donne un autre indice 😉
Merci pour ton commentaire Elie.
Ouhla, sacré défi que tu me lances ! 😀
Bon en vrai, je ne me risquerais pas à typer sérieusement quelqu’un sur base d’un commentaire, mais par amour du jeu, allons-y pour tenter le coup, au risque d’être complètement à côté de la plaque : INTP 4w5 ?
(Oui, une lettre près pour moi aussi, mais l’aile n’y change rien)
Nope, INFJ 9w1 !
Merci de t’être prêtée au jeu,
Au plaisir de lire tes prochains articles 🙂
Ah oui, à côté de la plaque du coup !
Merci d’avoir donné suite en tout cas, c’était amusant 😀
Bonjour Fabienne
J ai refait le test c est le 4 avec w3 , w5 je me reconnais bien dans ces caractéristiques surtout dans les traits négatifs des ailes 5 avec le côté un peu dépressif lol
C est très drôle car le 4 est très marqué chez moi en numerologie entre autre ( je suis née un 4 ) en 1966 ( 22 = 4 ) et l initiale de mon prénom et Nom 4 et 4 peut-être simple coïncidence….
Bonjour Muriel,
Vous êtes sensible aux sens symboliques, ce qui est un attribut particulièrement développé chez les types NF du MBTI, et chez la base 4 de l’Ennéagramme.
J’ajoute une observation aux vôtres : vous avez publié votre commentaire à 10h57, ce 4 vous poursuit décidément 😉
Bonjour Fabienne,
Sujet fort intéressant pour ne pas changer et connexion d’idée des plus riche.
J’ai eu un déclique personnellement avec l’ennéagramme faut suivre les émotions.
Pars là je veux dire que c’est après tout une représentation à un traumatisme de l’enfance qui nous pousse à voit le monde d’une telle façon.
Donc le secret c’est en peu d’empathie envers soie même et l’ennéagramme s’ouvre à toi (et biensûr “peu” de théorie).
Parcontre, pour le MBTI on peut connaître les fonctions savoir identifier les personnalités mais toujours avoir le doute sur soie?
Bonjour Ségoame, merci pour votre commentaire.
Je suis d’accord : pour l’Ennéagramme (comme pour le MBTI d’ailleurs), il est très important de ne pas en rester à une compréhension purement théorique, car le risque est d’être coincé dans une vision trop étriquée qui ne tient pas compte de la globalité de l’être humain, qui implique notamment, comme vous le dites très bien, les émotions.
Quant au doute sur soi niveau MBTI malgré les connaissances, oui, c’est tout à fait possible. Même si le MBTI est un outil des plus intéressants, la véritable compréhension de soi est bien nichée dans notre inconscient, espace de richesses et de complexité à explorer par des approches intuitives 🙂
Merci Fabienne pour cet article bien structuré qui nous éclaire sur les différences tes 2 types d’évaluation de personnalité .
Pas évident d’y trouver des correspondances , mais intéressant de pouvoir avoir un autre point de vue pour apprendre à mieux se connaître .
Merci pour ce retour Sylvie.
Oui je comprends, surtout que le modèle de l’Ennéagramme est vaste et demande un certain investissement pour le dompter 🙂
Merci !
J’avais fait le lien avec le Pourquoi et le Comment.
Pour ce qui est des corrélations, je trouve que c’est assez vrai mais …
Ex du type 3 présenté comme un extraverti que je retrouve fréquemment en INTJ voire INTP.
Une autre façon d’avancer est de faire un lien entre les préférences psychologiques et les préférences motrices et là c’est du bonheur 🙂
Perso 5w6 ISTP et bien dans ma tête et mon corps !
Merci pour votre commentaire.
Oui, la question des corrélations est toujours délicate. Je ne suis pas spécialement une adepte mais c’est une question qui revient souvent. Il existe aussi d’autres observations de toute façon 🙂